Commercial export : 3 moyens de travailler à l’étranger

Vous êtes commercial export et vous avez la bougeotte ? Visez les secteurs porteurs et certaines entreprises.

Commercial exportVisez les secteurs porteurs
Le secteur de l’industrie reste l’un des secteurs les plus dynamiques à l’étranger. Si l’automobile et l’agroalimentaire sont en baisse, l’aéronautique, qui a vu ses ventes à l’étranger progresser de 19 % en 2012 (chiffres Insee), connaît un boom sans précédent. Autres secteurs porteurs : les cosmétiques, le luxe et plus étonnant, la pharmacie. En outre, les problématiques liées au réchauffement climatique font bondir le secteur de l’énergie. Le pétrole, le gaz et la pétrochimie sont toujours actifs mais le nucléaire et les énergies “vertes” sont très prometteurs, ainsi que le secteur des infrastructures.

Postulez dans les PME
Les grandes entreprises se taillent la part du lion à l’export. Cependant, délocalisant de plus en plus leurs forces de vente, elles n’envoient plus autant d’expatriés qu’auparavant. Il peut être judicieux de chercher du côté des PME, soucieuses de trouver de nouveaux débouchés et moins exigeantes quant au diplôme et aux années d’expérience. En revanche, les PME n’ayant souvent pas les moyens d’ouvrir une antenne ou une filiale à l’étranger, vous vous déplacerez généralement moins que dans une grande entreprise.

Evoluez en interne
Vous pensiez vous envoler à l’autre bout du monde ? Généralement, il vous faudra rester plusieurs années au siège français de l’entreprise avant de conquérir les marchés internationaux. Parfois dans différents services, afin de mieux connaître l’entreprise. Les grandes entreprises confient les postes les plus importants aux cadres confirmés. Dans les PME, les jeunes diplômés évoluent plus rapidement : vous pourrez être embauché comme assistant export avant de devenir vendeur export puis pourquoi pas, directeur export.