2. Un contenu précis et concret
Interrogez-vous ensuite sur le contenu de l’entretien. Avez-vous eu le sentiment d’avoir dit tout ce que vous aviez à dire ? Le recruteur vous a-t-il laissé vous exprimer ? Moins il vous a interrompu et plus vous avez de chances d’avoir tapé dans le mille. Si la discussion s’est engagée sur le poste à pourvoir, avec des informations sur le quotidien des missions à remplir, voire même l’ambiance au sein du service concerné, c’est très positif. Cela signifie en effet que le recruteur est allé au-delà de la prospection avec vous et dans la projection vers du concret.
3. Des détails qui ne trompent pas
Pendant l’entretien, c’est une excellente nouvelle si votre interlocuteur s’intéresse à des détails concernant le contrat vacant. Quand seriez-vous disponible exactement ? La durée du préavis est-elle négociable ? Autre bon signe : si le recruteur s’engage de lui-même à aborder la question de la rémunération et des avantages en natures que procure le poste.
4. Un « feeling » qui a fonctionné
Enfin bien sûr, une conversation en tête à tête est une question d’intuition personnelle : avez-vous le sentiment que le courant est passé ? A vous de bien observer l’attitude du recruteur, de voir s’il paraît plutôt souriant et affable ou au contraire crispé et pressé d’en finir, levant les yeux au ciel ou semblant peu attentif à ce que vous lui dîtes. Bien sûr, plus vous avez eu un bon feeling avec un recruteur, plus vous avez de chances de lui avoir tapé dans l’œil.